FAIREFRANCE, le lait équitable

 

ANIMATION A PARIS. 1.

 

ANIMATION A PARIS. 2.


 

Lancement de Fairefrance Mont St  Michel  

 

 

 
Toute personne tenant dans ses mains une brique de lait FaireFrance a la preuve tangible et iréfutable, la démonstration apodictique* que l'on peut rétribuer EQUITABLEMENT tous les "maillons" de la filière lait avec pour le consommateur un prix tout ce qu'il y a de raisonnable. Tous ceux qui disent le contraire sont des menteurs ou des voyous - l'un n'excluant pas l'autre... 

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Est apodictique, du grec αποδεικτικος (qui démontre, qui prouve), ce qui présente un caractère d'universalité et de nécessité absolue. Une proposition apodictique est nécessairement vraie, où que vous soyez.




 








Avec son logo représentant une vache peinte aux couleurs bleu-blanc-rouge, on ne peut pas se tromper, le produit est bien français. Du lait de vache «bon, équitable», demi-écrémé, protéiné, sans conservateur, UHT, au goût de notre enfance.

Voilà ce que les producteurs de lait et le délégué régional Sud-Ouest Daniel Couhaillat, représentant la marque Faire France, sont venus présenter aux clients de l’Intermarché de Juillan avec leurs mots et leur savoir-faire. «Nous sommes des agriculteurs, pas des commerciaux», précise l’un des producteurs. «Nous expliquons notre démarche et la justesse de notre choix pour une meilleure santé, sans arrière-pensée commerciale, juste celle du mieux consommer pour mieux vivre.»

Une démarche approuvée par la directrice de l’établissement, Isabelle Gianduzzo, qui avoue que dans son magasin, 45 producteurs locaux proposent leurs produits frais. «Depuis notre installation ici, il y a 20 ans, c’est notre dada.» Au début, elle se souvient avoir eu du mal à faire comprendre ce concept. Aujourd’hui, ça fait boule de neige, on travaille beaucoup avec les artisans.

Certains ont des idées novatrices qui prennent immédiatement comme ce producteur de lait qui fabrique ses propres glaces. «Lorsqu’on y a goûté, impossible de revenir aux autres marques.» Car le but est de créer une relation de confiance entre les petits indépendants, les consommateurs, le magasin. «C’est bon pour le tissu local», poursuit la directrice. Et parler de son produit est une meilleure chance pour le producteur.
Francine Depeyre . Suite...

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