Le désarroi des producteurs de lait toujours vif dans le Finistère
Une centaine de producteurs ont rencontré mardi, au centre de formation de
Saint-Ségal, le président de la Fédération nationale des producteurs de
lait.
Au cours de cette journée dans la quatrième département laitier de
France (3 140 ateliers parmi les 7 800 exploitations du Finistère),
Thierry Rocquefeuille a d'abord visité une exploitation près de Quimper,
échangé avec les membres du bureau du syndicat agricole puis rencontré
les entreprises privées et coopératives collectrices de lait du
Finistère.
Au coeur des discussions avec les producteurs à Saint-Ségal, le prix
du lait et les associations d'organisations de producteurs (OP). Tout
est lié. A quelques vingt mois (1er avril 2015) du passage de
la gestion publique du lait par les quotas à une gestion privée par les
contrats, les producteurs s'interrogent.
Les prix se sont redressés
Gilles Salmon, directeur de la Fédération nationale des producteurs de lait a beau dire que « l'année 2013 pourrait se terminer sur un niveau de prix exceptionnel (345 à 350 €/1 000 l) », les éleveurs ont le sentiment qu'ils sont corvéables à merci.
Le profond désarroi ressenti à la sortie de l'hiver, avec des prix
bas (310 €/1 000 l) et des charges élevées, ce désarroi qui avait
entraîné une manifestation violente, le 18 février dernier à Quimper,
reste vivace. Oui, les prix se sont nettement redressés depuis. Mais ne
risquent-ils pas de s'effondrer de nouveau dans les prochains mois ?
Réflexion engagée
« C'est pourquoi, explique Thierry Rocquefeuille, il faut que les producteurs signent leur contrat avec leur entreprise, puis adhèrent à l'OP de leur entreprise ».
Il note avec satisfaction qu'à l'issue de la rencontre avec les
laiteries coopératives du département, mardi, celles-ci ont indiqué
réfléchir à demander l'agréement national OP pour leur section laitière.
Un propos confirmé par Georges Galardon, président de Triskalia.
Lorsque l'ensemble des producteurs adhèrera aux OP de leur territoire,
rien ne s'opposera à la constitution d'une association d'OP
territoriale, disent les leaders de la FDSEA du Finistère.
« Nous le disons même depuis cinq ans, rapporte Thierry Merret, président du syndicat agricole finistérien. N'oubliez jamais que le seul endroit pour discuter volume et prix du lait sans être accusé d'entente, c'est l'AOP ». Suite...
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« C'est pourquoi, explique Thierry Rocquefeuille, il faut que les producteurs signent leur contrat avec leur entreprise, puis adhèrent à l'OP de leur entreprise ».
Donc s'enfoncer pieds et poings liés dans plus d'intégration verticale
(vers le bas) qui est l'instrument même d'asservissement des producteurs
laitiers.
Et, cerise sur le gâteau: "« Nous le disons même depuis cinq ans, rapporte Thierry Merret, président du syndicat agricole finistérien. N'oubliez jamais que le seul endroit pour discuter volume et prix du lait sans être accusé d'entente, c'est l'AOP » aini, à travers l'AOP, le vieux syndicat compte rafler la mise et s'imposer dans des territoires laitiers où il a été fortement rejeté.
Monsieur le "messi dominici" de l'empereur des huiles souligne l'action (depuis 5 ans) dont on peut faire le bilan calamiteux. On manque pas d'air en aveyron!
Vous verrez que d'ici pas longtemps ils va s'attribuer la timide emblellie des prix qui n'est que conjoncturelles et très fragile et dont les causes sont à chercher partout sauf dans une quelquonque action de la fédé, ce vieux syndicat, qui par sa vision passéiste mène l'agriculture vers un inéluctable et massif effondrement de son modèle hyper productiviste calqué sur les besoins de l'industrie chimique.
On n’industrialise pas le vivant selon les mêmes pocess que la matière inerte. Un champ ou un atelier lait ne sont pas des usines et l'agriculture ne sera jamais une industire comme les autres, contrairement au slogans idéologiques que nous serine sans trêve la fameuse "industrie agro-ailimentaire" . Quand elle le devient, elle le payse cher: vache folle, lasagne piafantes, etc...
De plus, signe flagrant de cette impasse, la france a cessé d'être en autonomie alimentaire comme il est souligné dans le portage ci-dessous:
Et, cerise sur le gâteau: "« Nous le disons même depuis cinq ans, rapporte Thierry Merret, président du syndicat agricole finistérien. N'oubliez jamais que le seul endroit pour discuter volume et prix du lait sans être accusé d'entente, c'est l'AOP » aini, à travers l'AOP, le vieux syndicat compte rafler la mise et s'imposer dans des territoires laitiers où il a été fortement rejeté.
Monsieur le "messi dominici" de l'empereur des huiles souligne l'action (depuis 5 ans) dont on peut faire le bilan calamiteux. On manque pas d'air en aveyron!
Vous verrez que d'ici pas longtemps ils va s'attribuer la timide emblellie des prix qui n'est que conjoncturelles et très fragile et dont les causes sont à chercher partout sauf dans une quelquonque action de la fédé, ce vieux syndicat, qui par sa vision passéiste mène l'agriculture vers un inéluctable et massif effondrement de son modèle hyper productiviste calqué sur les besoins de l'industrie chimique.
On n’industrialise pas le vivant selon les mêmes pocess que la matière inerte. Un champ ou un atelier lait ne sont pas des usines et l'agriculture ne sera jamais une industire comme les autres, contrairement au slogans idéologiques que nous serine sans trêve la fameuse "industrie agro-ailimentaire" . Quand elle le devient, elle le payse cher: vache folle, lasagne piafantes, etc...
De plus, signe flagrant de cette impasse, la france a cessé d'être en autonomie alimentaire comme il est souligné dans le portage ci-dessous:
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